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Le deuxième plus grand ennemi de la productivité, ce sont les distractions !

Nous vivons dans un âge où nous n’avons jamais été autant prédisposés à la distraction et aux addictions ; une ère où les mauvaises habitudes sont devenues un gros business.

David Courtwright, professeur et expert en toxicomanie, appelle cela le « capitalisme limbique ».

Le cerveau limbique est le centre de nos émotions, de la motivation et de la mémoire à long terme.

Dans un secteur extrêmement concurrentiel, de plus en plus d’entreprises ciblent délibérément les centres de récompenses du cerveau humain, nous poussant vers des dépendances qui nous détournent de la réalité.

Pour certains, regarder son téléphone est la dernière chose qu’ils font avant de se coucher et la première à faire une fois réveillées.

La plupart d’entre nous sont devenus incapables de prendre un repas, ou de s’arrêter à un feu rouge sans dégainer leur téléphone.

Est-ce que l’on se sent vraiment serein, concentré, présent, satisfait ?

N’éprouves-tu pas plutôt la sensation désagréable que ton attention s’éparpille et que ton stress est monté d’un cran sans que tu puisses vraiment dire pourquoi ?

Ne te sens-tu pas constamment débordé, mais peu productif ?

Connecté, mais seul ?

Toute la technologie développée au cours des dernières années n’a pas toujours été là pour nous aider à mieux vivre.

La relation que nous entretenons avec ces outils se sont imposés si rapidement dans notre quotidien que n’avons jamais pris le temps de réfléchir aux termes de cette cohabitation…

… et aux conséquences à long terme sur notre cerveau, notre santé et notre productivité.

C’est bien ça le problème : l’essor de la technologie a détruit notre capacité de nous concentrer en profondeur sur les tâches.

Une étude réalisée en 2012 par le cabinet de conseil McKinsey a révélé que le travailleur moyen consacrait plus de 60 % de semaine de travail à l’utilisation d’outils de communication en ligne et à la navigation sur Internet.

Et 30 % de ce temps était consacré à la lecture et à la réponse aux courriels reçus.

Malgré ces chiffres, les travailleurs de la connaissance ont l’impression de travailler plus que jamais.

Le fait d’accomplir de petites tâches et de déplacer des informations donne le sentiment d’être occupé et d’avancer…

… mais ce travail superficiel nous empêche de vraiment nous concentrer et de produire un travail sérieux.

À une époque où la technologie évolue à un rythme effréné, nous devons acquérir les compétences et la capacité nécessaire pour nous concentrer sur une tâche à la fois dans notre travail quotidien.

Si tu veux prospérer dans ce siècle, tu dois apprendre à travailler en profondeur (deep work).

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ONUR

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